Un arrêté du Préfet Kodjo Kadévi Etsé, daté du 6 septembre 2024, interdit l’organisation de fêtes traditionnelles après la célébration d’Ayiza, consacrée aux moissons. Une information rapportée par le journal Lecorrecteur.

Cette décision, visant à maintenir l’ordre et la cohérence selon l’autorité locale, suscite des inquiétudes quant à la préservation de l’identité culturelle des communautés.

En imposant un calendrier unique, le Préfet risque de compromettre le vivre ensemble et de fragiliser le tissu social, alors que les fêtes traditionnelles représentent un compromis culturel essentiel, relève le journal.

Les autorités locales, tout en prônant la cohésion, semblent alimenter des frustrations croissantes.