La Journée internationale des droits de l’homme est célébrée ce 10 décembre 2025. À cette occasion, le Mouvement Martin Luther King (MMLK), à travers un communiqué, adresse un plaidoyer au chef de l’État, Faure Gnassingbé. Le mouvement demande la libération de compatriotes détenus en lien avec les manifestations d’août 2017 et d’autres affaires à caractère politique. Lisez plutôt!

10 DÉCEMBRE, JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE L’HOMME : LE MMLK PLAIDE POUR LA LIBÉRATION DES DÉTENUS LIÉS AUX MANIFESTATIONS D’AOÛT 2017 ET AUTRES AFFAIRES POLITIQUES

À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme, célébrée chaque année le 10 décembre en référence à l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme en 1948, le Mouvement Martin Luther King (MMLK) adresse un plaidoyer au Président de la République. Le mouvement demande la libération de nos compatriotes détenus en lien avec les manifestations d’août 2017 et d’autres affaires à caractère politique.

Cette démarche vise à susciter la paix, la réconciliation et la consolation dans toutes les familles togolaises, en cette fin d’année 2024 qui s’annonce déjà. Pour le MMLK, le Togo doit se réconcilier avec toutes ses filles et tous ses fils, et un tel acte constituerait un pas significatif vers le renforcement de l’unité nationale, aspiration chère à notre mouvement.

Le MMLK rappelle que les recommandations de la Commission Vérité, Justice et Réconciliation (CVJR), consignées dans le livre blanc, demeurent une boussole essentielle pour bâtir un Togo apaisé et réconcilié. Elles représentent également une opportunité pour réaliser le rêve partagé par ceux qui ont lutté pour l’indépendance de notre pays : “Togo Chéri, l’Or de l’Humanité”.

En cette journée symbolique, le MMLK déplore que les droits fondamentaux – notamment le droit à la vie, à l’alimentation, à l’éducation, à la santé et aux libertés publiques – ne soient toujours pas garantis de manière effective au Togo.

Le mouvement en profite pour demander la levée des mesures restrictives qui limitent l’exercice des libertés publiques et fondamentales dans le pays.

Fait à Lomé, le 10 décembre 2024
MMLK – La Voix des Sans Voix